L’hypothèse de départ est bien celle d’une question : « Y a-t-il plus de prescriptions de médicaments qu’antérieurement ? ». Celle-ci en rejoint une autre : « Les pathologies des jeunes accueillis ont-elles tellement changé ? »…
Certains membres du CA de MèTIS Europe annoncent une proportion de 40% de jeunes pour lesquels un traitement médicamenteux est prescrit.
La réflexion à prolonger pourrait avoir d’autres enjeux, par exemple, objectiver quels sont les médicaments prescrits au titre de la santé mentale, quels sont les buts des prescriptions. Il pourrait s’agir aussi de mieux connaitre les effets des traitements sur la santé générale des personnes traitées, mieux connaitre les processus de prescription….
En relation avec la thématique de la santé mentale développée par MèTIS EUROPE, les membres s’accordent sur la valorisation du principe fondamental du soin : « Au moins ne pas nuire »…